par Stéphanie Pinet
La première édition du TheliaTour s’est achevée vendredi 14 juin, après plus d’une semaine de tournée !
Une partie de l’équipe Thelia est venue à la rencontre de la communauté à Paris, Clermont-Ferrand, Toulouse, Montpellier, Marseille et Lyon.
Ce TheliaTour nous a permis de présenter la version 2 de Thelia (sortie prévue en septembre 2013), de rencontrer les utilisateurs de Thelia et présenter l’outil aux personnes à la recherche de nouvelles solutions.
Les retours sont très positifs : Thelia v2 séduit, plaît, et se fait attendre avec impatience !
Outre l’aspect technique, l’aspect e-marketing a aussi été abordé et de nombreuses réflexions sont aujourd’hui en cours.
La présentation de Montpellier a aussi fait l’objet d’une interview dans l’émission "Divergence Numérique", de Divergence FM, la Radio Libre de Montpellier (à télécharger ici).
Nous remercions toutes les personnes venues assister à ces petits-déjeuners et partager leurs expériences d’utilisateur et leur enthousiasme.
La communauté Thelia est dynamique, chaleureuse, et nous sommes ravis de voir que les évènements réalisés sont toujours plus conviviaux !
Prochain rendez-vous : le salon E-commerce Paris, les 24 25 et 26 septembre.
En attendant la prochaine conférence sur Thelia 2, voici les slides présentées lors TheliaTour : http://thelia.net/presentation-theliatour-2013
par Maeva Delautier
C’est à Paris, jeudi 30 mai, que nous avons débuté notre tour de France. Vous étiez nombreux à venir assister à la présentation de Thelia et sa v2, dont la sortie est prévue pour septembre 2013.
Le petit-déjeuner a permis à tous les membres de la communauté de se retrouver et d’échanger sur les projets de chacun ainsi que sur Thelia 2.
Le bal a été ouvert par la présentation de Thelia et son éditeur Openstudio. La matinée s’est poursuivie avec l’explication des fonctionnalités de Thelia, notamment son langage de boucles, avant de présenter en détails la v2 :
ses objectifs,
ses nouvelles fonctionnalités
les composants symfony 2 et les librairies utilisées,
sa nouvelle syntaxe des boucles, et la structure des plugins.
En bonus pour ceux qui sont venus ce mardi 4 juin à Clermont Ferrand, Olivier Montiel a présenté son bateau sur le parvis du Polydome, Place du 1er mai. C’est aux couleurs de Thelia qu’Olivier traversera l’Atlantique à la rame en mars 2014 !
Retrouvez l’interview d’Olivier sur Thelia.net
Le Thelia tour se poursuit la semaine prochaine à :
Toulouse, mardi 11 juin
Montpellier, mercredi 12 juin
Marseille, jeudi 13 juin
Lyon, vendredi 14 juin
Inscrivez-vous dès maintenant sur theliatour.net
par Stéphanie Pinet
A l’occasion du Thelia Tour, Olivier présentera son bateau mardi 4 juin sur le parvis du Polydome, place du 1er mai, à Clermont-Ferrand. Profitez en pour venir le rencontrer et lui poser toutes les questions sur sa traversée !
En mars 2014, Olivier participera à la course Rames-Guyane. Un projet que nous sommes fiers de soutenir !
Je suis Olivier MONTIEL, 38 ans, passionné de nouvelles technologies, ingénieur en systèmes d’information et réseaux.
Mon parcours ? Parcours Universitaire : Pas forcément passionnant mais suffisamment hétéroclite pour être mentionné. Aucune école d’ingénieur informatique ne voulant de moi je file faire une année de Droit à Valence… qui permet de confirmer que le Droit est un domaine passionnant mais en parfait inadéquation avec mon mode d’apprentissage. De passage à Grenoble, je présente et réussis par hasard le concours d’entrée de l’Ecole d’Architecture de Grenoble, où je passe finalement mon temps à facturer des vacations en tant que responsable technique du département informatique. Deux ans après, j’obtiens le DEFA (Diplôme d’Etudes Fondamentales en Architecture) qui permet d’être Designer… la grande classe. Avec un pseudo BAC+2 en poche je présente le DUT de Valence en Informatique Industrielle (en un an) qui me confirme que l’informatique est réellement mon domaine… mais pas le côté électronique. J’enchaine donc sur le DUT d’Informatique en Génie Logiciel de Toulouse (en un an). A l’issue de quoi j’effectue un stage chez Unilog (SSII) sur Paris, ils m’offrent un CDI par la suite. Au bout de 6 jours, Accenture me débauche et je travaille quelques années dans leur entité de développement logiciel spécialisée e-Learning.
Je quitte Paris pour devenir Chef de projet chez un éditeur Toulousain, je passe un diplôme d’ingénieur en Système d’Information et Réseaux en cours du soir. Trois ans plus tard je reviens temporairement en Ardèche pour préparer un départ pour travailler quelques mois à Londres (UK) puis à Auckland (NZ).
De retour je monte ma société de services informatique qui compte jusqu’à 9 salariés en 2009. La crise à raison de la structure, je pars tenter de travailler au Canada et reviens finalement pour officier en freelance en France.
Parcours de vie : Passionné de nouvelles technologies autant que de sports de montagnes. J’ai pratiqué l’escalade à haut niveau (puis un peu moins haut) pendant 15 ans, j’affectionne le VTT, le ski, la chute libre, les rallyes automobiles et autres sports fortement dommageables.
Un e-commerçant doit se concentrer sur son cœur de métier : la vente. Les sociétés intégrant ou développant sous Thelia sont nombreuses et il faut leur laisser gérer l’aspect technique.
J’ai entrevu très brièvement une émission sur la première édition en 2006, je ne savais pas comment m’inscrire ni même le nom de la course… Je regardais de temps en temps sur internet à la recherche d’informations mais sans grand succès… Entre temps, j’ai beaucoup voyagé, principalement en solitaire, avec pas mal d’aventures à la clef. Et en 2011 j’ai rencontré par hasard Marc Chailan qui préparait sa traversée pour 2012, le projet était lancé.
1. Construire le bateau. L’organisation avait prévu 37 exemplaires des monotypes (bateaux strictement identiques) afin de créer un marché de l’occasion entre les skippers. Les premières éditions ont nécessité 36 exemplaires, j’ai pu négocier le 37ème et serait donc l’unique bateau neuf en course pour l’édition de 2014.
2. Se préparer mentalement et physiquement. Mentalement : en parlant beaucoup avec les précédents skippers, en étudiant leurs courses, les soucis rencontrés, leur façon d’aborder la traversée. Physiquement : en pratiquant 15-18h de sport/semaine. Non pas pour prendre un départ body-buildé, mais simplement pour habituer le corps à l’effort et minimiser les risques de blessures musculo-tendineuses.
3. Enfin, étape omniprésente, la plus longue, le plus éreintante : la recherche de partenaires et de financements. L’argent est la clef d’une telle aventure, il faut donc lutter pour augmenter sans cesse la visibilité du challenge pour espérer pouvoir toucher quelques partenaires. En proportion, la course dure 50 jours… et ce n’est vraiment qu’une griotte sur l’énorme gâteau de travail que représente la recherche de partenaires.
Yes, j’articule ma semaine entre mon activité professionnelle et la préparation de la course. J’ai de la chance de pouvoir aisément séparer mon planning… mais il est très très chargé. En gros c’est musculation les lundi, mardi, vendredi matins et dimanche après-midi ; construction du bateau les mercredi et jeudi… et le reste du temps se partage entre la recherche de partenaires, le sourcing pour le matériel à acheter, les tâches administratives et la communication autour de Grain de Poivre et mon activité professionnelle.
Développements logiciels web ou sur des environnements dédiés.
Oui, Arnault (NDLR : Arnault Pachot, gérant d’OpenStudio) travaillait sur Thelia et je l’avais écouté sur ses choix, depuis c’est le moteur d’e-commerce que j’intègre.
Nous avions développé un logiciel de jeu vidéo permettant de danser sur des tapis, cela existait au Japon et nous l’avons re-developpé en France, avec des musiques de variété nationales et internationales. Ce projet nécessitait des périphériques spécifiques et des fichiers musicaux, tout cela était en vente sur notre site de e-commerce Thelia. Le site doit être entièrement refondu mais le temps manque un peu…
J’ai développé le site, ma première boutique sous Thelia était conçue avec le plugin l’intégrant à SPIP.
Un e-commerçant doit se concentrer sur son cœur de métier : la vente. Les sociétés intégrant ou développant sous Thelia sont nombreuses et il faut leur laisser gérer l’aspect technique. La principale difficulté d’un site de e-commerce est de se faire connaître, d’avoir pignon-sur-rue, d’avoir une visibilité en perpétuelle croissance.
Quand on achète une voiture, c’est pour se déplacer. On ne veut pas se soucier de sa conception ou de la technologie qu’elle embarque. On souhaite simplement relier deux points, avec confort et sécurité. Pour un site de e-commerce, la démarche doit être identique : on laisse les professionnels réaliser un site en adéquation aux besoins et on se concentre sur la façon d’augmenter ses ventes.
par Stéphanie Pinet
Cette semaine nous avons interviewé "Mike, The Barber", créateur d’un Barbershop pas comme les autres...
Le BARBU c’est un Barbershop pas comme les autres, en effet, on ne rase pas, on ne coupe pas... et c’est bien là tout le concept ! Prendre l’univers et codes du Barbershop, les arranger, les détourner le tout dans un style décalé que l’on nomme Unusual !
Nous vendons des vêtements, accessoires, goodies... Nous customisons aussi des vélos et d’autres choses qui sont généralement des pièces uniques.
Il y a seulement quelques mois, le temps passe si vite !
Très sincèrement pour une question de coûts et de délais, et puis pour la portée internationale d’une boutique en ligne.
Notre communauté compte aujourd’hui plus de 28 000 fans sur Instagram (http://instagram.com/lebarbushop), difficile d’ouvrir une boutique dans chaque pays ! Du moins au début, nous verrons bien avec le temps, qui sait ?
L’intégralité du design et du graphisme est gérée par nos soins, ici en France. Nous avons confié l’intégration et le développement à notre prestataire de longue date : Au Pixel Près
Au début, nous avions choisi Prestashop... Mais après avoir reçu les premiers devis d’intégration et de développement, on a été très très embêté ! Nous n’avions pas du tout les moyens de nous offrir un tel produit... En faisant quelques recherches, sur les solutions disponibles sur le marché, nous avons découvert Thelia ! C’était la solution idéale pour que notre intégrateur puisse intégrer nos maquettes sans l’aide d’un développeur confirmé, car contrairement à Prestashop, Thelia sépare le code et le template ! Ce qui a eu pour effet de réduire considérablement nos frais d’intégration / développement.
Donc pour résumer : Simple, économique et efficace.
Le site a ouvert ses portes fin janvier, depuis lors nous avons eu la visite de plus de 10 000 visiteurs, parmi eux 500 clients venant du monde entier pour un panier moyen d’environ 55€.
Au cas par cas, on attache beaucoup de soin et d’attention à répondre à tout le monde le plus rapidement possible. Cette tâche nous prend beaucoup de temps, nous recevons des messages du monde entier, mais c’est ainsi que l’on construit une image de marque. C’est un fait, avoir un bon contact avec le SAV fait partie de l’expérience de marque.
Notre plus grande satisfaction ? Croiser une personne dans le métro, qui porte fièrement l’une de nos créations !
Les réseaux sociaux (Instagram & Facebook) essentiellement et les newsletters. Avec une clientèle branchée et internationale, les échanges se font principalement en ligne.
Avec nos petites mains, on prend soin de travailler et réfléchir au maximum à chacun de nos messages afin d’avoir quelque chose au top et le plus qualitatif possible. Prendre soin de ses clients, de sa communauté, encore une fois ça fait partie de l’expérience que l’on veut offrir.
Aujourd’hui tout va bien et se développe bien mais c’est loin d’être gagné !
Diriger le monde, mais ça c’est l’objectif à 5 ans. Blague à part, comme tout entrepreneur, l’objectif premier, c’est de pouvoir vivre pleinement de notre activité.
On ne peut pas vraiment répondre à cette question, le fait d’avoir créé une marque et d’avoir connu une croissance très impressionnante sur les réseaux sociaux, rend notre expérience dans l’e-commerce vraiment particulière.
De tenter l’aventure tout en gardant en tête que le combat sera difficile et que la vision qu’ils ont de la somme de travail à fournir est très en dessous de la réalité, car l’implication n’est plus la même quand on travaille pour soi... Il faut y aller avec son coeur et ses tripes, il n’y a pas de recette miracle !
Le CMS c’est vraiment un bon moyen de démarrer rapidement, mais l’adapter à ses besoins c’est souvent long et fastidieux.
par Stéphanie Pinet
Cette semaine, Norbert Bouilhol nous présente son agence MicroSystem, basée dans la région grenobloise.
Bonjour Norbert et merci d’avoir accepté de répondre à nos questions.
MicroSystem a été créée en mai 2004 pour répondre aux besoins numériques des PME/PMI de la région Grenobloise.
Nous avons 3 activités :
Conseils, expertises sur les nouveaux usages numériques dans le monde de l’entreprise
Gestion opérationnelle : réalisation de projets web orientés ebusiness ou ecommerce – webmastering - référencement
Formation aux métiers du web
Nous avons 4 profils différents au sein de notre agence :
expert conseil / direction de projet
webmasteur / référenceur
développeur / intégrateur
infographiste / intégrateur
Nous utilisons Thelia depuis 2007. A l’époque nous avons retenu Thelia pour le projet d’un site ecommerce www.danslapente.fr qui nécessitait une personnalisation complète de la base de données et du process de vente.
Thelia nous apporte une grande souplesse et capacité d’adaptation des développements aux besoins du client.
Non, nous nous sommes formés sur Thelia au fur et à mesure de nos développements et de nos utilisations. L’étape de formation viendra certainement avec l’arrivée la version 2 de Thelia.
Oui, nous utilisons aussi Joomla ou Spip pour des sites communautaires et notre CMS maison pour des sites vitrines simples.
Nous souhaitons nous former plus sur Thelia pour capitaliser une expertise sur un seul CMS avec un usage plus large. Dans les semaines qui arrivent, nous commencerons le projet d’un site ebusiness dans le domaine des agences de voyages.
Récemment Thelia a eu la très bonne idée d’ajouter un nouveau template responsive dans son package, nous n’avons pas encore eu l’occasion de pouvoir nous en servir mais tout de même, quelle formidable idée.
La version 2 de Thelia, qui sortira dans quelques temps, va être très intéressante puisqu’elle est basée sur des composants du framework Symfony 2 et que son architecture est entièrement revue... nous attendons donc cette sortie avec impatience.
par Stéphanie Pinet
Bonjour Laurence, Avant tout merci de répondre à nos questions !
Bonjour, je suis Laurence Gagne, 36 ans, originaire d’Auvergne, Haute-Loire plus précisément. Je suis la fondatrice, créatrice, gérante de Bagalam, une boutique en ligne de bijoux et accessoires de créateurs.
Je gère donc un site e-commerce de bijoux fantaisie et accessoires de créateurs, des articles que je présente aussi chez les particuliers en ventes privées et en entreprises (expo-ventes).
Je propose des articles de marques connues, de jeunes créateurs pas très connus mais ça ne saurait tarder (!) et des marques de commerce éthique. Mon choix se porte sur la qualité des produits, sur les rencontres aussi que je peux faire avec des créateurs sur les salons professionnels, les marchés. Dernièrement, je me suis beaucoup tournée vers des créateurs de Lyon car j’habitais tout près.
Mon objectif, en fait, c’est de proposer du nouveau, du beau et un maximum de "made in France" ou de commerce éthique. Acheter et vendre des bijoux bas de gamme, disons le, venant d’Asie, ne m’intéresse pas, même si je serai sûrement gagnante à le faire... Bref, placer de l’humain dans le commerce ! Et c’est ce que j’essaie de transmettre aux clients sur mon site.
C’est un site que j’ai voulu chaleureux, aéré, beau à regarder et le plus ergonomique possible.
Aujourd’hui sur le site, j’ai 348 produits en ligne, et depuis le début de l’année environ 1260 visites par mois en moyenne.
J’ai passé environ une année à travailler sur le projet, mon entreprise a été créée officiellement en juin 2011 et le site a été mis en ligne en octobre 2012. J’ai commencé à faire des ventes privées avant la mise en production pour tester les produits.
Ah, bonne question ! Je vais essayer d’être concise et succincte, parce que les raisons sont multiples. Tout d’abord je dois dire qu’en 2011, je revenais de Guadeloupe où j’avais passé 3 ans. J’étais alors géomètre-topographe. Quand nous sommes revenus, j’ai eu l’occasion de faire une pause et de réfléchir à mon avenir : avais-je envie de planter des bornes jusqu’à la retraite ? Mon métier était certes passionnant mais assez physique sur le terrain et pas très glamour (on ne part pas travailler en talons et maquillage). Cela faisait 10 ans que je travaillais dans ce secteur et j’avais envie très clairement d’autre chose. Plus compatible aussi avec ma nouvelle vie de maman. Et puis je trouve terriblement angoissant de faire le même métier toute sa vie. Alors ce projet là est né de journées de réflexion. D’abord, j’avais envie de travailler dans le commerce. Envie de travailler pour moi. De me lancer un défi aussi : faire quelque chose de totalement nouveau pour moi. De vendre des articles qui me plaisent. Pouvoir m’occuper de mon fils
D’où un site e-commerce qui permet d’avoir une certaine flexibilité du temps de travail. Enfin, c’est ce qu’on croit au départ ! Et puis il me fallait des articles faciles à stocker qui ne prendrait pas les 3/4 de la maison : d’où les bijoux.
" Avant même de créer le site, j’avais ouvert une page Facebook et un blog, ce qui m’a permis de me retrouver référencée avant même la mise en production. Et surtout, ça m’a permis de me faire connaître. "
Oui. La première chose à faire, c’est d’aller à la CCI, s’informer sur la création d’entreprise. Car ce n’est pas une mince affaire. Vive l’administration française...
Comme j’avais l’ambition de faire un site qui tienne la route dès le départ, avec un stock assez conséquent et que mon apport en capitaux était maigre, j’ai demandé à bénéficier de prêts à taux zéro. Les plateformes territoriales Centre Ain Initiatives et le VSDI, (Val de Saône Dombes Initiatives) m’ont soutenue, épaulée et suivie. Ce n’était pas gagné car les sites e-commerces n’ont pas forcément bonne réputation auprès des banques et des prêteurs. Mais j’ai réussi à les convaincre ! Je me suis aussi inscrite dans une association de chefs d’entreprise, les Mompreneurs de Lyon, réservée aux femmes et mamans. Comme toutes les associations de chef d’entreprise, elle permet de ne pas rester isolé, de se faire un réseau, de partager son expérience. C’est important de ne pas rester seule.
Pour le site, n’y connaissant strictement rien, j’ai tout externalisé : charte graphique, conception et référencement. Pour tout le reste, c’est moi qui gère.
Pour le moment, je n’ai aucun problème à les gérer seule, le nombre de ventes n’étant pas encore astronomique. Pour le SAV, les retours se comptent sur les doigts d’une main ! Bons produits !
Avant même de créer le site, j’avais ouvert une page Facebook et un blog, ce qui m’a permis de me retrouver référencée avant même la mise en production. Et surtout, ça m’a permis de me faire connaître. Sur le site, l’essentiel est là : compte fidélité, parrainage, frais de livraison offerts dès 60€ d’achat, paquet cadeau offert. Je fais évidemment des promotions que je relaie sur Facebook, le blog, twitter. Et j’envoie des newsletters régulièrement. Depuis quelques mois, l’application pour i-phone a été lancée (conception Sakanet.fr).
Dernier point : les ventes privées réservées aux VIP. Elles n’ont pas encore vu le jour car le module n’est pas du tout adapté à ce que je veux faire. J’attends beaucoup de Thelia sur ce point là !
Sur Facebook, pendant très longtemps je postais quotidiennement trop de photos, de liens. Je me suis calmée un peu ! De temps à autre je poste sur twitter mais je ne suis pas une adepte.
Être connue ! Le nombre de visiteurs/jours malgré l’optimisation du référencement est assez décevant. Pendant longtemps le site a été très lent. Il fallait vraiment le vouloir pour aller au bout du processus d’achat. On a fait des modifications, un changement d’hébergeur. Ça va mieux mais ce n’est pas encore le top.
Hier encore, j’ai reçu un message spontané d’une cliente qui avait reçu sa commande. Elle était ravie de l’envoi rapide et de son article, bien sûr. Voir aussi des clientes qui reviennent acheter sur le site, ça fait plaisir aussi. Ça, ça me fait du bien ! Depuis peu, je commence à être démarchée par les créateurs, ça montre aussi que le site commence à être connu et à intéresser.
Objectif numéro un : être rentable ! Et vite. Il ne faut pas se voiler la face et être très conscient avant de se lancer : tous les sites ne sont pas rentables dès la première année. Surtout sur un secteur aussi concurrentiel que les bijoux. Développer le pôle marketing pour que la France entière connaisse Bagalam ! Toujours rencontrer de nouveaux créateurs pour proposer des choses nouvelles. Développer des partenariats.
Pour les 3 ans à venir, j’aimerais une belle croissance pour Bagalam. Développer l’entreprise, trouver un(e) associé(e) qui partage les mêmes objectifs : proposer du beau, du local, de l’éthique.
Et j’aimerais me former dans différents domaines : l’informatique pour faire des petits changements sur le site sans avoir à passer par quelqu’un, en infographie aussi.
La première chose très importante : s’entourer des bonnes personnes dans les secteurs qu’on ne gère pas. Choisir le webmaster est primordial. C’est comme bien choisir le maçon qui va construire votre maison : s’il y a des défauts partout, c’est autant de difficultés qui vont apparaitre et vous casser les pieds... Savoir gérer les bugs auprès de la clientèle. Il faut être très réactif. L’autre difficulté c’est de se faire connaître rapidement et de rester au top dans le positionnement chez Google. Un virus (ça m’est arrivé l’an dernier, des russes...) et c’est la dégringolade.
Autre difficulté quand on travaille seule et à la maison : essayer de ne pas se décourager, rester motivée et faire comprendre à son entourage qu’on travaille.
Avoir un dossier en béton. Avoir un moral en béton. Y croire. Être bien entourée, même si on travaille seule. Avoir les ressources financières nécessaires. Ne pas rester isolée. Choisir les bons prestataires. Ne pas s’attendre à des miracles. S’ils arrivent, tant mieux ! Et surtout ne pas se lancer dans le domaine du bijou, j’ai assez de concurrence. :)
Et bien, c’est par hasard mais ce hasard s’inscrit dans la même démarche que mon choix dans les créateurs. Je voulais travailler avec un prestataire que je pourrais rencontrer facilement. Il se trouve qu’un webmaster se trouvait à quelques kilomètres de chez moi, qu’il utilisait Thelia. J’avoue que je ne connaissais pas et que je voulais au départ créer mon site avec Prestashop. J’ai donc comparé les deux et le fait que ce soit une entreprise locale, auvergnate, en plus, a fait pencher la balance. Même mon référenceur est auvergnat. Ça peut paraitre un peu dénué de sens pour certains mais je trouve pour ma part que ça reflète bien l’état d’esprit de mon entreprise : Bagalam travaille avec les acteurs de la vie économique française : prestataires, fournisseurs. On ne peut pas demander à ce que notre économie aille mieux si soit même on ne fait rien. C’est mon côté idéaliste...
Et je vous invite à venir découvrir mon site et pourquoi pas me laisser vos commentaires.
par Stéphanie Pinet
Cette semaine, nous avons rencontré l’équipe de Be-wak, matériel de randonnée, de camping, d’outdoor. Michel, le fondateur, nous a fait le plaisir de répondre à quelques unes de nos questions.
Bonjour Michel, et merci de participer à nos interviews.
Bonjour ! J’ai créé la société Outdoor Equipment en 1994. Au départ, nous étions spécialisés dans la vente de tentes, via notre réseau de distributeurs. Petit à petit, nous avons été confrontés à la disparition progressive de ces spécialistes, qui ne pouvaient plus faire face aux Grandes Surfaces Généralistes et aux magasins spécialisés. On perdait de plus en plus de clients. On a donc choisi de tenter l’aventure sur Internet !
Une première boutique, très simple, a été ouverte dès le début des années 2000. On avait une cinquantaine de produits, et le site existait en français et en anglais.
Aujourd’hui nous gèrons 2 sites Internet : www.khyam.fr , dédié aux tentes et à l’équipement de randonnée, et www.be-wak.fr , plus généraliste.
Le premier site a été réalisé par un ami, tout avait été développé sur mesure, j’avais très peu d’autonomie. Dès 2006 j’ai fait appel à une agence de communication pour faire une nouvelle charte graphique. J’ai profité de cette refonte visuelle pour intégrer Thelia.
Tout est stocké sur place. Cela nous permet d’être très réactifs. Si la commande est passée avant 14h elle est expédiée dans la journée, sinon le lendemain.
Au niveau du SAV, on a très très peu de retours, même pas 1 %. On ne peut donc pas parler de Services Après ventes. Cela fait partie de nos satisfactions d’ailleurs !
Les appels sont surtout des demandes d’information en avant-vente, et principalement de avril à août, en haute saison. La date de livraison prévue est clairement affichée sur le site, (en tenant compte des délais des fournisseurs bien sûr), ça nous permet de gérer bien moins d’appels sur les modalités de livraison.
On fait essentiellement de la promotion de produits sur le site. Ces promos sont annoncées par newsletters, nous essayons d’en envoyer une par mois mais ça nous prend quand même du temps. Malgré ce manque de stratégie de fidélisation on remarque que les clients reviennent régulièrement et achètent des produits complémentaires à leur précédente commande.
Il faut dire aussi que nous vendons sur internet depuis presque 10 ans et avoir l’expérience de la vente en ligne aide, même s’il y a constamment des améliorations à faire. Be-wak existe depuis 2010, le site en est déjà à sa 2ème version.
On a aujourd’hui sur le site, en basse saison, près de 400 visiteurs uniques par jour pour 5 à 10 commandes. En haute saison on est à 1200 visiteurs uniques pour 20 à 50 commandes par jour. Notre catalogue produits est très riche. On compte aujourd’hui plus de 2800 produits en ligne.
Le plus difficile est la création de toutes les fiches produit, qui nous demande un temps considérable. On met un point d’honneur à avoir de belles photos, des descriptions détaillées et optimisées, avec un maximum d’informations... C’est vraiment très long. On est d’ailleurs souvent obligés de reporter certaines actions de communication pour faire nos fiches produit à temps.
Faire progresser notre chiffre d’affaires bien sûr, en développant la gamme, avec des fiches produits toujours plus qualitatives.
Là-dessus mon discours a un peu évolué. Avant, j’aurais dit qu’il fallait impérativement prévoir 10000€ au moins pour créer son site, en mettant la moitié pour la création du site et l’autre moitié pour une prestation de référencement.
Aujourd’hui je vois les choses différemment. Grâce à nos contenus, notre travail d’optimisation, et à la structure de Thelia, on a réussi à avoir un bon positionnement dans les moteurs de recherche sans prendre de prestation de référencement.
Plus généralement, je dirai que vendre en ligne ne se fait pas tout seul, c’est un vrai métier qui demande d’être capable de gérer plusieurs outils, de s’occuper de la communication et de la logistique. Il faut aussi pouvoir mettre en place une stratégie e-marketing, et c’est important pour cela d’être bien accompagné.
"Grâce à nos contenus, notre travail d’optimisation, et à la structure de Thelia, on a réussi à avoir un bon positionnement dans les moteurs de recherche sans prendre de prestation de référencement."
par Stéphanie Pinet
Alexandre Vion, co-fondateur de SpeedyWeb, mais aussi utilisateur et contributeur de Thelia, nous présente son agence et les divers projets réalisés avec Thelia.
Basée à coté de Perpignan, SpeedyWeb existe depuis 4 ans. Au départ simples indépendants, nous sommes devenus aujourd’hui une équipe de trois personnes.
L’agence est spécialisée dans la création de sites e-commerce optimisés pour les moteurs de recherche mais également dans les projets plus spécifiques comme la réservation en ligne par exemple. Nous sommes toujours ouverts à de nouveaux défis techniques.
Principalement des projets e-commerce sur mesure comme par exemple le site de la créatrice de bijoux Rosina Brabant http://www.rosina-brabant-glam.com, la boutique de la marque Stevialis http://www.stevialis.fr ou le tout nouveau site de notre agence http://www.speedyweb.fr !
La société propose un pack de site Internet dedié aux loueurs de véhicule SpeedyRent http://www.speedyrent.fr, avec système de réservation en ligne, gestion de planning, système de tarification avancé, etc...
Nous sommes également les auteurs du plugin Ganalytics e-commerce, disponible dans les contribs, qui permet à nos clients et à la communauté Thelia de suivre au quotidien leurs activités.
"Avec Thelia tout est possible ! Nous réfléchissons réellement sur le projet de nos clients sans contrainte et c’est tout simplement génial !"
Depuis 2009, à l’époque il y avait encore l’interface d’administration verte et grise !
Nous recherchions un CMS e-commerce capable de s’adapter à une charte graphique sur mesure, qu’il n’y ait aucune contrainte niveau design. En faisant des recherches sur Internet, nous avons trouvé un article qui parlait de Thelia et de ses avantages. Le fait de pouvoir coder entièrement la partie publique était notre contrainte numéro 1, Thelia était donc le choix logique !
De la souplesse ! Avec Thelia tout est possible ! Nous réfléchissons réellement sur le projet de nos clients sans contrainte et c’est tout simplement génial ! De plus il est très facile à utiliser pour nos clients.
Le template de base nous a permis de comprendre le principe de fonctionnement du CMS et son système de boucle. La communauté active et la documentation du wiki a fait le reste !
Notre équipe se compose d’un développeur pur et dur, d’un webdesigner / intégrateur et d’un spécialiste en référencement naturel. Nous avons ainsi une équipe très complémentaire ce qui nous permet d’attaquer des projets e-commerce de A à Z.
Nous essayons le moins possible d’utiliser d’autre CMS mais il nous arrive de travailler avec SPIP ou WordPress pour les projets de sites dynamiques non-commercants.
Nous avons pour projet de nous implanter sur la ville de Nice dans le courant de l’année et au niveau web, d’autres e-commerce ou projets particuliers sont prévus comme un site de démarches administratives relié aux douanes françaises par exemple.
par Stéphanie Pinet
Cette semaine nous avons interviewé Thierry Roudine, Responsable Business Développement du Centre de Services Portails de Bull Bordeaux, qui a pour projet d’intégrer Thelia dans son offre SaaS.
Bonjour Thierry, et merci d’accepter de répondre à nos questions.
Bull a toujours été, depuis de longues années, un acteur majeur de l’OpenSource en Europe, et contribue de manière très active à différentes communautés du logiciel libre, notamment OW2 (ObjectWeb).
Enfin, Bull est co-fondateur de l’Open World Forum, le premier sommet mondial consacré à l’impact technologique, économique et sociétal des technologies ouvertes.
Thelia apporte beaucoup d’avantages dans la perspective de projets de Cloud public pour nos clients.
Lorsque j’ai rejoint le groupe Bull il y a deux ans, nous avions déjà travaillé dans le passé avec Thelia sur des offres de solution e-commerce que nous proposons à nos clients opérateurs telecom. Nous avons voulu continuer à collaborer sur des projets d’avant-vente, et j’ai réellement connu les équipes OpenStudio et Thelia lors du salon e-commerce à Paris en septembre 2012.
Nous souhaitons garder une certaine cohérence dans notre stratégie de développement de notre offre en mode SaaS, et donc pouvoir y intégrer un produit comme Thelia qui apporte beaucoup d’avantages dans la perspective de projets de Cloud public pour nos clients.
C’est avant tout un produit très souple dans sa conception, ce qui permet une mise en œuvre d’un projet e-commerce avec un TTM très rapide. On dispose d’un « moteur » ou d’un « cœur » qui renferment les fonctions les plus standards du produit, et ensuite on peut y ajouter des modules complémentaires qui existent déjà, ou bien les développer ou les adapter en fonction des besoins spécifiques de nos clients.
Ceci nous laisse donc énormément de latitude pour couvrir au plus près le périmètre fonctionnel d’un projet, et ainsi fournir une solution « sur mesure » à nos clients sans qu’ils aient à payer le prix fort.
Thierry Roudine est en charge de l’activité Avant-vente et Business Développement du centre de service Portails de Bull Bordeaux. Ce département porte une offre complète de portail multicanal basée sur des technologies d’intégration innovantes.
par Stéphanie Pinet
Nous avons rencontré Nelson, gérant de Nelson, la cuisine & vous, cuisinier pâtissier de formation. Il a ouvert son local il y a peu, et propose via son site Internet la réservation en ligne et l’achat de bons cadeaux...
Bonjour Nelson ! Avant tout pouvez-vous vous présenter ?
Bonjour. Je suis Nelson, cuisinier pâtissier et fondateur de Nelson la Cuisine & Vous.
J’ai commencé comme apprenti cuisinier à 15 ans dans un restaurant gastronomique, puis j’ai travaillé chez un traiteur, et chez un boulanger-pâtissier chez qui j’ai appris toutes mes méthodes de pâtisserie.
J’ai ouvert Nelson la Cuisine & Vous en novembre dernier. Travailler à mon compte était une évidence pour moi, comme pour beaucoup dans le secteur d’ailleurs !
J’ai attendu d’avoir une bonne expérience dans le domaine, 10 ans en cuisine et 6 ans en patisserie, pour me lancer.
Pouvez-vous présenter votre activité et votre boutique en ligne ?
Je donne des cours de cuisine (cours particuliers ou en groupes). Les cours sont donnés aux adultes, mais aussi aux enfants dans le cadre de goûters d’anniversaire, cours parents-enfants. J’ai aussi une formule qui permet de cuisiner sur place son dîner et de l’emporter. J’organise également des séminaires. D’ailleurs je reçois beaucoup plus de professionnels que de particuliers.
En plus de l’aspect cours de cuisine j’ai un espace boutique dans lequel je vends du matériel culinaire.
Mon site internet me permet de présenter l’atelier (l’espace sous la verrière plaît beaucoup) et les différentes formules de cours proposés. Je propose aussi de réserver son cours de cuisine en ligne et d’acheter des bons cadeau.
J’ai un calendrier avec tous les cours à venir, la durée, le détail de la prestation etc, et les personnes intéressées s’inscrivent et réservent directement en ligne.
Je vends aussi des bons cadeaux. C’est vraiment idéal, surtout en période de fêtes. Les personnes peuvent les acheter à n’importe quel moment et ils le reçoivent le lendemain ou surlendemain chez eux. Et pour moi, c’est très simple à gérer, j’envoie les bons cadeaux avant ou après mes cours de cuisine, tranquillement.
"Ma plus grande satisfaction est d’avoir fait de ma passion mon métier. "
Vous êtes-vous fait aider ? Avez-vous fait appel à des organismes ?
J’ai bénéficié d’une aide de la CCI de Clermont-Ferrand pour monter mon business plan et mon plan de communication, par contre je n’ai eu aucune aide financière. Elles m’ont été refusées, les organismes étaient tous sceptiques face à mon projet de cours de cuisine. Ils ont surtout vu dans mon projet un effet de mode, et pas ma vocation malheureusement.
Qu’avez-vous fait en interne et qu’avez-vous fait faire par des prestataires extérieurs ?
Presque tout est fait en interne. Ma femme a réalisé toute ma charte graphique et mes supports de communication.
Le site a été réalisé par des amis autoentrepreneurs, dont un développeur qui a pu me faire tout mon module de réservation en ligne.
Grâce à Thelia je gère tout tout seul, les commandes, les bons cadeaux, les plannings des cours... Je suis vraiment autonome.
Quels sont vos outils de promotion ? Et de fidélisation clients ?
J’utilise beaucoup Facebook pour présenter mes réalisations, annoncer les prochains cours : facebook.com/NelsonLaCuisineetVous.
J’essaie, avec l’aide de ma femme, de poster des informations tous les jours pour fidéliser mes fans, j’ai 260 personnes qui me suivent.
Je viens de créer une page Google +et aussi j’ai inscrit mon entreprise sur différents sites qui référencent les cours de cuisine comme Koifaire, dismoiou, Qype, Familiscope, Yelp, Hotfrog, Loisirs…
Je fais aussi de la promotion dans la presse locale, j’ai établi un plan de communication sur plusieurs mois avec un magazine culinaire régional « Le Petit Gourmet » avec des articles et publicités ciblant certains évènement de l’année (Noël, la Saint-Valentin, Pâques..)
J’ai participé à une émission de radio sur France Bleu Pays d’Auvergne où j’ai pu présenter une recette et parler de mon concept.
J’ai aussi eu des articles de présentation dans la presse locale (Quotidien La Montagne, Journal de l’éco, Magazine En Auvergne).
Pouvez-vous nous donner quelques chiffres sur votre boutique :
J’ai une centaine de visites par jour, pour 2 commandes passées.
Et le panier moyen est de 67 € TTC.
Qu’est-ce qui est le plus difficile pour vous aujourd’hui ? Quels obstacles rencontrez-vous ?
Le plus dur c’est d’être seul pour gérer les cours de cuisine, l’accueil et la vente.
Le début d’année est un peu plus creux suite aux fêtes, et j’ai peur que les clients attendent la dernière minute pour utiliser leurs bons cadeaux.
Et qu’est-ce qui vous procure la plus grande satisfaction ?
D’abord, ma plus grande satisfaction est d’avoir fait de ma passion mon métier.
Ensuite j’ai la chance d’être contacté par des sociétés qui cherchent des lieux pour des séminaires et/ou souhaitent développer leurs offres CE, alors qu’au départ je ciblais surtout les particuliers.
Souvent les entreprises viennent à moi par bouche à oreille et via le site, ils sont toujours séduits par le lieu. Les photos du site présentent bien le local ; c’est ce qui plait.
Je suis aussi ravi de voir que j’ai des offres qui fonctionnent mieux que ce que je pensais, comme les cours Parents / Enfants.
Quels sont vos objectifs à moyen et long terme ?
A moyen terme, développer mon activité et agrandir le local pour faire des salles de séminaires.
A long terme, j’aimerais ouvrir des franchises.
Quels conseils voudriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer dans l’aventure e-commerce ?
Je dirai qu’il est important d’évaluer ses besoins, et surtout de faire appel à des professionnels pour bénéficier d’un maximum de conseils et de soutien.